Boîtiers Blu-ray : l’ombre d’un doute…
L’un de nos membres (faisant également partie du staff) vient de réaliser une minutieuse vérification de l’ensemble de ses Blu-ray qui, à son grand étonnement, lui a permis de découvrir un phénomène inédit, ou en tout cas très peu évoqué à ce jour : certains boîtiers agissent sur les disques qui y sont insérés. Heureusement, pour l’instant, sans dégâts irrémédiables.
Vous trouverez tous les détails de son analyse dans l’article qu’il a rédigé ci-après.
Les interrogations que l’on peut avoir vis-à-vis des boîtiers ne sont pas nouvelles. Beaucoup d’amateurs de Blu-ray savent intuitivement de longue date qu’il y a parfois « quelque chose de pas net » dans ces boîtiers. Nous sommes nombreux à avoir déjà remarqué ces traces un peu huileuses qui tapissent leurs fonds, et qui sont probablement dues aux agents ( graisse, huile,…) utilisés en fabrication pour empêcher l’adhérence des plastiques sur les moules.
Il s’agit ici d’un phénomène différent, mais parallèle, qui doit nous faire réfléchir quant à l’intégrité des boîtiers censés protéger nos chers BD.
Certains titres Blu-ray s’orienteraient-ils vers ce que l’on pourrait appeler le « BluCase-ROT » ? La question est ouverte…
Je souhaite vous faire part d’une longue recherche que je viens d’effectuer sur ma BDthèque (environ 350 BD) et des constats qu’elle m’a permis de faire, presque par hasard.
1. Idée de départ
Je n’avais jusqu’alors vérifié que mes BD « français » des éditeurs à problèmes, une centaine environ (ce qui m’avait permis de trouver une douzaine de décès, mais ce n’est pas le sujet ici). Et il y a quelques jours, je me suis posé la question des AUTRES BD, ceux des éditeurs ou presseurs qui ne sont jamais cités, et qu’on vérifie rarement ou jamais. J’ai donc décidé de me lancer dans la vérification de tout le reste de ma BDthèque, soit à peu près 220 autres BD, parmi lesquels pas mal d’imports.
Tous ces BD n’ont jamais été vus ni manipulés. La seule manipulation antérieure, il y a 2 ans, a été de les déblistériser et d’en vérifier les IFPI, sans même les toucher (quand on a l’habitude, pas la peine de sortir le BD du boîtier pour voir son IFPI).
2. Constats
La bonne nouvelle, c’est qu’aucun de ces BD n’était défectueux. Mais je suis par hasard tombé sur un nouveau phénomène que j’appellerais les « taches de lait ».
31 de ces BD présentaient en effet des traces laiteuses plus ou moins importantes, que vous pourrez admirer en intégralité sur les photos jointes (J’ai pris soin de prendre les meilleures photos possibles, et ce que vous voyez sont bien les taches réelles et pas des reflets).
Certains BD avaient des petites taches, essentiellement sur le bord, de la grosseur de l’ongle d’un pouce. D’autres des taches importantes, voire très importantes et multiples. Certaines étaient en rond, d’autres avaient des formes bizarres, avec des angles nets, ou un peu comme une queue de comète. Sur l’exemplaire le plus touché (Jurassic Park 3), les taches viraient au brun.
A l’oeil nu de très près (j’ai la chance d’être myope, pour une fois ça aide !), j’ai remarqué qu’une tache était constituée de centaines de petits points blancs, comme des pixels ronds. Ca m’a également fait penser à de la peinture en spray, avec des centaines de micro-gouttelettes.
Au début, j’ai testé la lecture sur platine « avec taches ». Deux disques (les plus touchés, Jurassic Park 3 et Last days of summer) se sont révélés illisibles. Puis j’ai essayé d’enlever les taches (chiffon doux et en soufflant dessus pour faire de la buée), et ai pu constater qu’elles partaient. Ces BD sont redevenus lisibles. Les taches sont donc sur le BD, et pas incrustées dedans, et je pense que quand il y en a trop, elles perturbent le laser et empêchent la lecture.
Les taches sont assez tenaces, ce n’est pas de la buée ! Il faut 50 à 100 allers-retours avec le chiffon pour faire disparaître les plus grosses. C est d’abord l’extérieur qui part, le centre résiste plus (comme s’il était plus « encrassé »). Mais au final, on y arrive.
3. Recherche d’explications
Il se passait donc quelque chose SUR ces BD, mais quoi, et pourquoi ?
Pendant plusieurs jours, je n’ai pas trouvé d’explication probante. J’ai relevé les presseurs, éditeurs, années, mais il y avait un peu de tout, sans tendance nette.
Et puis, à force de sortir les BD de leurs boîtiers et de les y remettre, je me suis dit à un moment : tiens, c’est bizarre, il y a quand même pas mal de boîtiers épais (qui sont très courants pour les BD anglais).
J’ai alors refait un décompte, pour constater que 19 BD sur 31 se trouvaient dans des boîtiers Amaray de 14 mm. Ce sont tous les BD UK. Et ce sont nettement les plus touchés.
J’ai alors cherché un explication pour les 12 autres BD touchés, mais qui étaient dans des boîtiers « normaux ». Ce sont des BD France, Allemagne, Italie, Belgique, il n’y a pas d’UK.
Et à force de les observer, j’ai trouvé enfin une seconde explication : tous, sans exception, étaient, soit dans des boîtiers Elite un peu plus épais que les Amaray standard (je dirais 12 mm au lieu de 11), soit dans des boîtiers « no name » de 11 mm.
En réalité donc, ils n’étaient pas dans des boîtiers à priori « normaux », ils n’étaient que dans certains types de boîtiers (et j’ai découvert par la même occasion que le boîtier, c’est tout un monde !)
⇒ Pour faire un premier point à cette étape : les disques tachés sont uniquement ceux qui sont, soit dans un Amaray épais de 14 mm (anglais), soit dans un Elite 12 mm ou dans un no-name 11 mm (autres pays). Les taches sont bien plus importantes dans les Amaray 14 mm. Et il n’existe pas de BD tachés dans les boîtiers Amaray 11 mm qu’on croise couramment.
(A titre informatif, un petit visuel : comme le montrent les photos jointes (Amaray 11 vs Elite 12), les Amaray courants « sans problème » ont des bords plus arrondis, un bleu plus pâle et chaud, sont un peu moins épais, et ont une ouverture sur le côté plus longue d’un centimètre)
Il me restait une autre question, c’est que j’avais noté que dans les Amaray 14mm contenant 2 ou 3 BD (Autant en emporte le vent, Dr Jivago, Star Wars trilogy, Jurasic Park trilogy) , seul l’un d’entre eux était touché, et je ne comprenais pas pourquoi.
L’évidence m’est vite apparue : le BD touché, c’était toujours le dernier, soit celui de droite qui repose DIRECTEMENT sur l’Amaray. En effet, les autres BD étaient sur un support amovible en plastique plus dur et cassant, qui ne les affectait pas.
(Petite précision : pour Dr Jivago, la galette de droite touchée est un DVD, le phénomène atteint donc aussi ce type de support, et malheureusement, la tache est quasi impossible à enlever, ou alors on raye le DVD, car il n’a pas les mêmes couches protectrices que le BD).
⇒ Point numéro 2 : la contagion se fait uniquement quand le boîtier touche le disque.
Pour essayer de trouver une confirmation et me sentir moins seul, j’ai ensuite cherché sur internet, et ai trouvé en anglais une situation similaire évoquée en 2012 sur le site blu-ray.com. Dans cette discussion, qui parle des problèmes de traces huileuses qu’on trouve parfois sur les boîtiers, un internaute indique:
« Some of the discs have milky stains caused by the residue » …
« Certains disques ont des traces de lait causées par les résidus ». J’ai compris de cette discussion, pour résumer, que certains boîtiers seraient source d’émissions et produiraient des déchets qui se déposent sur le disque. Mais vous l’aviez deviné déjà…
http://forum.blu-ray.com/showthread.php?t=211634
Je n’ai pas cherché plus loin sur le net pour l’instant, sans doute y a t-il d’autres articles ou topics, en cherchant plutôt avec des mots-clés anglais.
4. Mais que se passe-t-il donc ?
Voilà donc les constats « bruts » de cette longue semaine de tests. Peut-on en conclure quelque chose ?
♦ Restons réalistes, mon « étude » est empirique et n’a pas de valeur statistique en tant que telle. C’est un constat personnel, fait sur ma seule BDthèque, qu’on ne peut pour l’instant généraliser, même si je ne suis pas le seul apparemment à avoir rencontré ce phénomène.
Il est important aussi de comprendre dans quel sens on parle. Si je dis que TOUS mes disques touchés sont dans 3 types de boîtiers exclusivement, cela ne signifie pas que tous les boîtiers de ces types émettent des résidus.
C’est comme le BDRot : tous les titres touchés (ou presque) sont issus de 3 presseurs, ce qui ne veut pas dire que tous les titres de ces presseurs sont défectueux.
♦ Ensuite, il y a certainement d’autres éléments dans l’équation: est-ce que ça n’arrive que sur certains presseurs, certains éditeurs (en fonction de leurs process de fabrication ou de stockage), certains lots de boîtiers (et là, il faudrait remonter aux fabricants de boîtiers), est ce que l’atmosphère de la pièce encourage ou non le phénomène (par exemple si on est fumeur, ce qui est mon cas) ? A ce niveau, il faudrait être chimiste.
Vous verrez cependant dans la liste jointe qu’il y a dispersion des presseurs, éditeurs, années, … et qu’il n’y a pas de tendance forte par rapport à ces éléments. La seule tendance forte, c’est les 3 types de boîtiers.
♦ A propos des process de fabrication, j’ai remarqué un phénomène intéressant, que l’on voit sur les photos de « Sueurs froides ». La tache sur le BD est circulaire et ressemble à 100 % aux empreintes qu’on voit souvent sur le fond des boîtiers. D’après des personnes plus au fait que moi, ce sont des empreintes de ventouses des robots qui manipulent les boîtiers. Donc, pourquoi retrouve-t-on cette empreinte sous forme de tache sur le BD ? Dans la chaîne de fabrication, quel « truc » a touché quel autre « truc » et dans quel ordre pour donner ça ?
Vous remarquerez également, sur plusieurs autres photos (au hasard : Autant en emporte le vent, L’Homme qui en savait trop, Liaisons dangereuses,…) ce que j’appelle les « queues de comète », des traits bien définis qui donnent l’impression que quelque chose a été déposé sur le BD en tournant.
♦ Je ne suis pas assez cultivé dans le domaine pour analyser tout cela. Mais il est logique de penser que ce genre de problème relève d’une interaction entre deux ou plusieurs éléments. On est au moins sûrs ici qu’un de ces éléments, c’est certains types de boîtiers, qui ont l’air d’émettre des « trucs » qui se déposent sur le BD. Selon quel processus, ou dans quelles conditions, je ne le sais pas.
5. Pour finir…
Cette affaire m’a fait repenser à un autre incident, arrivé 10 jours avant, quand j’ai constaté le décès de mon exemplaire neuf de Two lovers (Wild Side). Ce BD présentait autour de son centre plastique des taches un peu poisseuses nettement dessinées en étoile, et aussi une dégradation circulaire. Or, cette étoile, c’est la forme du « téton » sur lequel on accroche le disque sur le boîtier, et le cercle, l’endroit où le disque touche le boîtier. Voir photos ici:
http://www.bluraydefectueux.com/forum/viewtopic.php?f=5&t=630
On pourrait en déduire que « quelque chose » issu du boîtier a attaqué le disque là où il le touche, et spécifiquement son centre plastique et la sérigraphie (d’où l’aspect poisseux). Et le boîtier -hasard ou coïncidence- est un Elite 12mm…
Vous avez compris, ça m’amène à me demander -pure hypothèse- si pour certains BD rotés, il n’y aurait pas non plus un « effet boîtier ».
Merci de m’avoir lu, à suivre peut-être !
6. Additif
– A titre d’info, je joins la liste complète de mes titres touchés. Peut-être verrez vous des éléments qui m’ont échappé, et vous pourrez vérifier chez vous si vous avez les mêmes.
TITRE (Fr) | PAYS | BOITIER | EDITEUR | ANNEE | PRESSEUR |
Autant emporte vent | UK | Amaray 14 | Warner | 2009 | 947L |
Chantons sous pluie | UK | Amaray 14 | Warner | 2012 | UGG3 |
Chariots de feu | UK | Amaray 14 | 20th | 2012 | WRB3 |
Cleopatre 1 | UK | Amaray 14 | 20th | 2012 | 947L |
Cleopatre 2 | UK | Amaray 14 | 20th | 2012 | 948K |
Dr Jivago dvd | UK | Amaray 14 | Warner | 2010 | 94C3 |
Fenêtre sur cour | UK | Amaray 14 | Universal | 2013 | 075A |
Homme qui savait trop | UK | Amaray 14 | Universal | 2013 | WRB3 |
Hors d’atteinte | UK | Amaray 14 | Universal | 2011 | UGG6 |
Jurassic Park 3 | UK | Amaray 14 | Universal | 2011 | 056K |
Last days of summer | UK | Amaray 14 | Paramount | 2013 | UGG8 |
Marnie | UK | Amaray 14 | Universal | 2013 | WRB3 |
Oiseaux | UK | Amaray 14 | Universal | 2013 | 075A |
Ombre d’un doute | UK | Amaray 14 | Universal | 2013 | WRB2 |
Pretty woman | UK | Amaray 14 | Touchstone | ???? | 947K |
Star Wars 6 | FR | Amaray 14 | 20th | 2011 | 945K |
Sueurs froides | UK | Amaray 14 | Universal | 2013 | 055K |
Truman show | UK | Amaray 14 | Paramount | 2009 | UGG3 |
Une étoile est née | UK | Amaray 14 | Warner | 2013 | UGG6 |
Barry Lyndon | FR | Elite 12 | Warner | 2011 | 9479 |
Basic instinct | ITA | Elite 12 | Studio canal | 2008 | 94E6 |
Casablanca | FR | Elite 12 | Warner | 2008 | 949L |
Liaisons dangereuses | ALL | Elite 12 | Warner | 2012 | 94E6 |
Nouveau monde | FR | Elite 12 | Metropolitan | 2010 | 94E6 |
Sideways | FR | Elite 12 | 20th | 2008 | 94E9 |
Voyage au bout enfer | FR | Elite 12 | Studio canal | 2007 | 94E9 |
A poursuite diam.vert | FR | Noname 11 | 20th | 2008 | 94E7 |
Dr Folamour | FR | Noname 11 | Sony | 2009 | 941J |
Kramer vs Kramer | BEL | Noname 11 | Columbia | 2009 | 947L |
Proposition | FR | Noname 11 | Touchstone | 2010 | 948L |
The thing | FR | Noname 11 | Universal | 2008 | 2TB7 |
- Pays = langue de la jaquette.
- Année = celle du copyright figurant sur la jaquette (car pour certains, il y a eu plein de rééditions). On remarque que les 14 mm seraient sur des années plus récentes, les autres sur des années plus anciennes. Mais on ne peut pas dire que ce soit déterminant, ce n’est que le reflet de ma Bdthèque, constituée au fil des années.
- Presseurs : Il y a pas mal de pressages 94xx (Sony). Mais on ne peut pas dire que ce soit déterminant.
- Tous les Hitchcock sauf Oiseaux : même collection Universal de 2013 – Chantons sous la pluie et Une étoile est née : même collection Warner jaquette jaune.
– Je joins également ici les photos (manque Basic Instinct, oublié de le photographier, et maintenant il est nettoyé !)
-Sujet complémentaire sur les boîtiers, à voir sur le forum: http://bit.ly/2A78Qnq
BONSOIR! je confirme que dans ma blu-ray theque,j’ai deja fait echanger 24 titres de votre listes chez ex (QOL) media logistique,j’en attend 5 autres! Par contre pour « MPO » ses le neant total,il veulent rien savoir,sans l’accord de l’editeur!depuis le mois de mars 2017,je me suis adresser a « PATHE/GAUMONT »,qui ma renvoyer au service atitrer,mais meme avec des relances d’emails,toujour pas de reponse?? j’ai 2 NID DE QUEPES ET LA TRAVERSEE DE PARIS,QUI BEGUE AUSSI.ET j’attend le feu vers de pathe a MPO pour faire l’ echange sa fait 9 mois!!!!!
je vous informe que le titre que j’ai THX 1138 (warner edition 2004)ne demarre pas aussi!!,que dans STAR TREK THE NEXT GENERATION:saison 1. episode rendez-vous a farpoint,l’image n’arrete pas de geler(bloquer)editer chez CBS/PARAMOUNT.je ne sais pas qui les a presser?
JUGDE DREDD(stallone)l’image gele 15mn avant la fin!(chez media logistique,pas de stoc?) j’ai essayer tout les BR SUR DES LECTEUR DIFFERENTS.
Bonjour, merci pour ces précieux retours!
Pourriez-vous rapporter votre message dans le forum, dans le topic signalements par exemple?
http://bluraydefectueux.com/forum/viewtopic.php?f=5&t=117
Afin qu’on puisse apporter une réponse « un peu plus visible » de tous.
Bonjour, je viens de tomber sur cette article. J’ai effectivement constaté ce genre de phénomène sur certains de mes BD et parfois, en sortant du magasin avec le film, à peine le blister retiré, des tâches blanchâtres. On dirait de la buée suite à la différence de température mais qui sont poisseuse voir collantes parfois.
Après, ce phénomène n’est pas vraiment nouveau vu que j’ai rencontré ce genre de problèmes sur plusieurs de mes DVD. Les plus récents restaient nettoyables sans trop de dégâts apparents et ceux qui étaient malheureusement les plus anciens, ont réellement pris cher. En fait, si on laisse le disque avec ces tâches, cela « bouffe » littéralement la couche du disque et au lieu d’avoir un joli disque tout lisse et brillant qui fonctionne, le disque semble avoir pris des petits coups de poinçons et le brillant a totalement disparu donnant l’impression que le disque a été traîné par terre. Bien sûr, dans cette état, le disque est mort.
Entre les disques défectueux au pressage et les boîtiers discovores, j’ai finis par laisser tomber les boîtiers pour tout ce qui est édition de base, les galette finissant dans des boites range DVD. C’est moins beau dans un sens, mais ça fait gagner de la place.
Pour donner une idée, avant de faire cela, j’ai eu ce phénomène irrémédiable sur une vingtaine de film restaient en boîte alors que dans les ranges DVD, pas un seul n’a rencontré de problème de tâches suspectes, pas de poussières en 10 ans.
Merci à vous pour votre témoignage très détaillé. LE STAFF.
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bjr, c’est interressant ce qu’il a écrit, car les boitiers ba c’est du plastique, plus ou moins de qualité, qui face a des conditions dans la maison qui sont impacté par les conditions intérieurs et extérieurs, et c’est aussi valable pour les bluray rot qui sont encore lisible chez certains et pas chez d’autres, mais c’est vrai que le coup des boitiers peut jouer aussi je pense.
Cordialement
Bonjour, effectivement le plastique est aussi une matière qui vieillit plus ou moins bien et également suivant les conditions de stockage. Il faudrait l’analyse de personnes travaillant dans le milieu de la plasturgie.
edit, je voulais dire surement du plastique bon marché ou de recup, donc, pas une densité extreme pour proteger des elements externes ^ ^
Depuis un certain temps certains éditeurs emploient des boitiers « écologiques » et évidés (avec moins de matière). Cf cet article.
Merci pour vos témoignages.