Voilà je reviens sur certaines théories exposées par Xavier dans un autre thread que je retranscrit ici.bluraydefectueux a écrit : ↑jeu. 6 avr. 2023 08:32
...Tout ça combiné à un process (comme le dit Vivaldi21) bien établi, d'ailleurs SONY n'est il pas à la base de ce support ?
- ... on observe parfois chez les autres fabricants un brunissement de cette fameuse bague marquant la séparation entre le centre et les couches. Il y aurait peut-être un problème étanchéité (exacerbé par la préhension du disque, la façon dont on retire le disque de son support, qui a tendance à "vriller" celui-ci) à ce niveau puis survient donc avec le temps une oxydation (qui se traduit par ce brunissement) qui s'étendre aux couches et suivant le stade, colore la surface du disque elle même oxydée (enfin le sandwich de couche), chez SONY il y a cette bague blanche qu'on voit sur tout leur disque, elle fait office probablement d'un excellent joint et donc pas d’oxydation.
- Une autre explication, SONY était (par le passé au moment de cette mauvaise période) son propre fournisseur de résine.
Essayons ensemble de comprendre les raisons des différences de qualité d'un fabricant à un autre, voir même pour un même presseur une différence d'une production à l'autre comme QOL reconnaissable fréquemment par une très mauvaise qualité esthétique des ses disques et dans de rare fois de bien meilleurs... Pour exemple sur mon coffret.
Apocalypse Now édition définitive de 1991. ---> ICI
Quels sont les imponderables pouvant aboutir au pire et d'autres fois à un disque mieux fini ?
Le cahier des charges est il toujours le même ?
Les exigences de l'éditeur sur un processus et ses critères, sont ils prises en compte ?
Des libertés sont ils laissées à l'operateur de production ?
Des réponses qui tendraient à expliquer cette non homogénéité d'un disque à l'autre.
Le sujet m'intèresse beaucoup, j'ai encore constaté très récemment une qualité rarement vu pour Arvato/Sonopress concernant l'édition du titre Black Pitch chez l'atelier d'images.
En observant la bague centrale du blu-ray ou du 4K nous pourrions nous trompez en pensant être en présence d'une fabrication sortie des chaines de production Sony l'anneau central le pourtour bien blanc "en guise" comme le suggère xavier d'étancheité aux contraites lors des manipulations, 2 disques portant bien l'empreinte 07** et non 94**
Ceci démontre bien que Sonopress à les moyens et le savoir faire de livrer de bien meilleurs disques esthétiquement du moins.
Une chose est sûr, le resultat de la finition n'est pas constant pour ces fabricants et la réaction des professionnels de l'édition n'aide pas à améliorer la situation lorsqu'on leur rapporte des cas bien precis.. n'admettant pas qu'un problème globale et non isolé pourrait de nouveau survenir préférant nous dire que rien n'est parfait et de minimiser.
Comparons sur photo car il est dit avec facilité que Technicolor et Sony DADC se valent

Halo blanc central (protectrice)pour sony et Sonopress

Halo blanc inexistant pour ce 4K Technicolor

Halo blanc pour le 4k et le BD similaire à Sony DADC

