(image non contractuelle)
Numéro de matrice:
Code : Tout sélectionner
AHM 101352
ARTHAUS MUSIC (UMV Distribution)[A tester]
Le presseur est possiblement CDA: CDA GmbH[A tester]
Modérateurs : bluraydefectueux, vivaldi21
Code : Tout sélectionner
AHM 101352
Bonjour Monsieur,
Je vous remercie de vous être fait l'écho de mes signalements sur votre site.
Concernant I Puritani (un Blu-ray Deutsche Grammophon), j'ai eu un retour encourageant de la marque. L'on reconnaît implicitement que mon exemplaire est défectueux et l'on m'annonce que l'on va m'expédier un exemplaire neuf. Il faut que j'attende un peu : l'on est en Allemagne et la pandémie conduit à des délais. Je suppose que, probablement, cet exemplaire ne sera pas un nouveau pressage.
Deutsche Grammophon est une marque premium qui pourrait, possiblement, trouver un intérêt à tenir compte de la fidélité de sa clientèle. J'ai une palanquée d'autres vieux BD de cette marque-là. Pour l'heure, ils sont tous lisibles mais je vois que certains ont été gagnés par le bronzing et je n'augure pas qu'ils puissent durer très longtemps. Ce phénomène de "bronzing in progress" s'observe aussi sur certains de mes BD Decca et Sony qui, pour l'heure, sont encore tous reconnus par mes lecteurs.
Je vous remercie d'avoir pris acte que quelques-uns de mes plus anciens BD (Arthaus Musik et Teldec) sont devenus illisibles — le bronzing saute aux yeux qui est devenu très intense, avec parfois un cercle maronnasse de mauvais aloi, mais je n'observe pas d'altérations physiques aussi manifestes que celles que l'on peut voir, çà et là, sur votre site. Il s'agit, parfois, de produits Athaus et Teldec plus récents, publiés en 2012 voire 2014. Pour le moment, aucun des deux éditeurs allemands concernés n'a répondu aux sollicitations que j'ai multipliées par les canaux les plus divers. Ces deux éditeurs sont très liés avec un catalogue partagé en partenariat. Sur Amazon, l'on voit bien à l'international que d'autres consommateurs ont rencontré les mêmes difficultés avec ces BD-là, toutes zones. En ce qui me concerne et pour ces BD devenus illisibles, je disposais aussi du DVD — une sécurité, en somme !... Depuis quelques années, je n'achetais plus beaucoup de DVD d'opéras — je dispose de l'essentiel du catalogue DVD et, pour les nouveautés, j'étais passé au tout Blu-ray. Voilà que je reviens vers le DVD, et notamment pour les publications lyriques récentes quand elles me semblent remarquables et mémorables.
Amicalement,
JPM